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Au gré des verres de vin.

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Au gré des verres de vin.
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9 septembre 2007

[ .88. ]

Mon problème c'est que je prend les choses bien trop à coeur.

*

Je déménage les amis.

YOU WILL BE A HOT DANCER BABY

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9 septembre 2007

[ .87. ] Lettre d'une amoureuse morte.

Une rencontre, la nôtre, un porte ouverte et ce fut toi, moi, un début semblable à tant d'autres, deux êtres se croisent pour ne plus se revoir, je t'ai revu le soir même, un accident.
C'est un accident, un choc, un pylône pris de plein fouet au volant d'un destin en roue libre, lancé à grande vitesse, sans limite, le pied sur l'accélérateur d'une vie qui ne peut s'arrêter ralentir stopper.
Trop tard, plus de marche arrière, inutile de se retourner, il n'y a plus qu'à vivre ou à mourir, mais à cet instant il est trop tôt pour le savoir.
La sirène hurle c'est la guerre, le feu, il faut rameuter ses troupes sonner du clairon, réagir, se battre et avancer car à cet instant l'on sait qu'il y aura la victoire ou la défaite, la vie ou la mort.

8 septembre 2007

[ .86. ] Le retrouvage des copines !

P9080001

[ La seule et unique photo que j'ai prise de la journée (toutes les autres photos postées ont lachement été prises à Delphine), Alice à ma gauche, Delphine à ma droite. ]

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[ La glorieuse arrivée de la Charlotte en retard, on a faim nous ! ]

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[ Elodie, on a la classe ou on ne l'a pas (et oui madame part au Maroc la semaine prochaine) ]

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[ L'allée, cette si belle allée qui rythme nos va et viens du monde extérieur à la fac, avec en sublimes modèles au milieu de la photo : Charlotte, Elodie et moi-même. ]

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[ Une petite photo de moi pour faire plaisir à mes admirateurs ^^ (oui j'ai une sale tête je sais et alors ?!). ]

7 septembre 2007

[ .85. ] L'Espoir.

"Il trouva des symphonies de Beethoven, et les Adieux. Il n'aimait qu'à demi Beethoven, mais peu importait. Il emporta dans sa chambre le petit phono et le mit en mouvement.

Comme la musique supprimait en lui la volonté, elle donnait toute sa force au passé. Il se souvint du geste dont il avait tendu son revolver à Alba. Peut-être comme le disait Ximénès, avait-il trouvé sa vie. Il était né à la guerre, né à la responsabilité de la mort. Comme le somnambule qui soudain s'éveille au bord du toit, ces notes descendantes et graves lui jetaient dans l'esprit la conscience de son terrible équilibre - de l'équilibre d'où on ne tombe que dans le sang.

[ ... ]

Il sentait la vie autour de lui, foisonnante de présages, comme si, derrière ces nuages bas que le canon n'ébranlait plus, l'eussent attendu en silence quelques destins aveugles. Le chien-loup écoutait, allongé comme ceux des bas-reliefs. Un jour il y aurait la paix. Et Manuel deviendrait un autre homme, inconnu de lui-même, comme le combattant d'aujourd'hui avait été inconnu de celui qui avait acheté une petite bagnole pour faire du ski dans la sierra.
Et sans doute en était-il ainsi de chacun de ces hommes qui passaient dans la rue, qui tapaient d'un doigt sur les pianos à ciel ouvert leurs opiniâtres romances, qui avaient combattu hier sous les lourds capuchons pointus. Autrefois, Manuel se connaissait en réfléchissant sur lui-même ; aujourd'hui, quand un hasard l'arrachait à l'action pour lui jeter son passé à la face. Et, comme lui et comme chacun de ces hommes, l'Espagne exsangue prenait enfin conscience d'elle-même, - semblable à celui qui soudain s'interroge à l'heure de mourir. On ne découvre qu'une fois la guerre, mais on découvre plusieurs fois la vie.

Ces mouvements musicaux qui se succédaient, roulés dans son passé, parlaient comme eût pu parler cette ville qui jadis avait arrêté les Maures, et ce ciel et ces champs éternels ; Manuel entendait pour la première fois la voix de ce qui est plus grave que le sang des hommes, plus inquiétant que leur présence sur la terre, - la possibilité infinie de leur destin ; et il sentait en lui cette présence mêlée au bruit des ruisseaux et au pas des prisonniers, permanente et profonde comme le battement de son coeur."

6 septembre 2007

[ .84. ] Le Dimitri Poliakov enchapeauté.

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*

Je sens que j'vais kiffer ma deuxième première année moi ^^.

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5 septembre 2007

[ .83. ] (L)

Je sais pas si tu vas lire ça.
Je sais pas ce que tu penses.
Je sais rien à vrai dire.
Mais.

Bizarrement, tu me manques.
(et je veux Joseph, mais c'est une autre histoire.)

Merci pour cette journée, pour tout en tout cas.
Et comme le dit si bien ta chanson
: you do something to me, that i can't explain.

4 septembre 2007

[ .82. ] Ma face en cadeau.

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*

3 septembre 2007

[ .81. ] Bouleversée.

Ce matin, Chimère est morte.

*

Ma rate, Kimère, mon bébé, ma kiki d'amûr, mon beau-gosse, ma kiclette..
Et je suis triste triste triste à un point pas possible.

J'crois que personne ne peut savoir à quel point j'l'aimais cette petite boule de poil.

</3

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2 septembre 2007

[ .80. ] Lettre d'une amoureuse morte.

Emmurée, repliée, immobile, je ne peux plus bouger, je sais pourtant que je suis vivante, je le sais mais ne le sens plus.
Pour unique sensation cette circonférence de douleur au centre de mon corps qui me rappelle encore que je suis terrestre tant mon être n'est que manque, vide.
Je respirais, mais comment, depuis combien de temps suis-je déposée sur ce lit, des heures, des jours.
Aucune idée aucune sensation n'est mienne aucun désir, rien. J'entends mon coeur battre encore d'un rythme lent, régulier, pourquoi bat-il encore.
Mon cerveau de torpeur à peu de souvenirs, il ne se souvient que de lui plus rien ne rappelle à moi mais tout me ramène à toi qui n'est plus, je sais que je t'aime, que je t'aime encore et toujours pour toujours.

2 septembre 2007

[ .79. ] Xelou découvrait la vie ^^.

*

Et moi j'l'ai en pas acoustique, uhu :].

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